14 novembre 2005

Etretat, bah ouais ché bio !


En ce lundi matin je ne voulais pas rester sur un billet tristounet, alors voilà pour vous remonter le moral, puisqu'après tout vous ne venez pas ici pour que je vous plombe le vôtre, une jolie photo que j'ai prise sur la plage d'Etretat cet été (si mes souvenirs sont exacts, moi et ma mémoire de poule...), avec une chouette vue sur les falaises blanches de craie. Alors bien au chaud devant votre PC, je suis sûr que ça doit vous sembler idyllique, gardez tout de même à l'esprit qu'il faisait vraiment pas chaud, un vent glacial, et que j'ai du risquer ma vie (chaque galet représente en effet un terroriste près à me fouler la cheville) pour prendre cette photo dont je suis assez fier ;-)

4 commentaires:

Anonyme a dit…

je suis surpris par cette photo, en même temps je ne suis pas surpris que tu l'es choisi, je vois que tu mets en avant la beautés du site,

mais ne temps que jeune chercheur en psychologie, je trouve cette photo interressante pour ce qui se trouve au premier plan, des barques renversée! (peut-être de la sur-interprétation, mais je suis sur que cette photo tu l'as choisi pour les barques renversées)
je serais même curieux de savoir ce qu'exprime des barques renversées pour toi?

Anonyme a dit…

merci pour tes petits commentaires, désolé pour la douleur intra-crânienne provoquée par ma dernière note.

bien amicalement,

edwoodjr a dit…

Certes, j'avais d'autres photos des falaises mais les barques renversées au premier plan me plaisaient bien. J'ignore pourquoi. Ce qu'elles expriment ? Hum... Peut-être bien le fait de ne pas être loin de la mer, de ne pas avoir grand chose à faire pour prendre le large, mais de se mettre le nez dans les galets et de rester sur terre.

Anonyme a dit…

Elles expriment donc une certaine frustration, une envie de prendre la large mélée à une peur de ce dernier, rien ne pouvait inconsciemment exprimer mieux cette idée qu'une barque renversé, la barque est l'objet qui glisse sur l'eau, la renversé empêche sont utilisation...
de plus tu insiste dans ta réponse sur le fait d'être forcé de rester sur terre avec une analogie au galet qui t'empêcherais d'aller plus loin...

je m'étonne moi même avec ma super explication...mais en même temps je ne dois pas être loin de la vérités, car tu parles dans ton billet précédent: d'être au bord d'un gouffre...

si tu veux en parler de façon plus personnelle, tu peux m'envoyer un mail à : sexandthetown@yahoo.fr